8 déc. 2009

Usages et Outils du WEB2.0

Travail Collaboratif et Outils WEB2.0

Google docs – http://docs.google.com/
Editgrid – http://www.editgrid.com/
Mindomo – http://www.mindomo.com/
Remenber the milk – http://www.remenberthemilk.com
Pmwiki – http://www.pmwiki.org/wiki/pmwikifr/pmwikifr/
...

Réseaux Sociaux et Outils WEB2.0

Netvibes – http://www.netvibes.com
Blogger – http://www.blogger.com
Flickr – http://www.flickr.com
Del.icio.us – http://del.icio.us
...

Identifications d'outils WEB2.0

Stockage de documents

Owl - http://owl.anytimecomm.com/
Relay - http://ecosmear.com/relay/
Box.net - http://box.net/

Outils de bureautique

•Google docs - http://docs.google.com/
•Thinkfree - http://member.thinkfree.com/member/goLandingPage.action?t=1040724653916
•Zoho writer - http://writer.zoho.com/home?serviceurl=%2Findex.do
•Ajaxwrite - http://ajaxwrite.com/
•Editgrid - http://www.editgrid.com/
•Numsum - http://numsum.com/
•Spresent - http://www.spresent.com/v2/
•slideshare - http://www.slideshare.net/

Traitement des images

•Picnik
•Pixenate
•Fauxto

Lecteur de flux RSS

•Xfruit
•Google reader
•Netvibes

Convertisseur de format

•Media convert

Messagerie instantanée

•Google talk
•Yahoo messenger
•Campfire
•Yugma

Wikis, blogs

•Netcipia
•Wordpress
•Wikimedia
•Wiki zoho

Gestion des tâches

Remenber the milk - http://www.rememberthemilk.com/

Gestion de la relation client

Sugar CRM - http://www.sugarcrm.com/crm/

10 Principes du WEB2.0

Principe 1 : le web2 en tant que plate forme logicielle
Principe 2 : Tirer parti de l’intelligence collective
Principe 3 : La puissance est dans les données
Principe 4 : Enrichir les interfaces utilisateur
Principe 5 : Libérer le logiciel du seul PC
Principe 6 : Des modèles de programmation informatique légers
Principe 7 : L’innovation est dans l’assemblage
Principe 8 : Tirer du web tout son potentiel
Principe 9 : L’utilisateur au centre de la gestion de l’information
Principe 10 : Développer pour les internautes

28 oct. 2009

C'est quoi XML , XSD, XSLT

1)
Un fichier XML est un fichier texte possédant une structure particulière.XML est une notation, c'est à dire une manière d'écrire les informations.



La valise contient 2 pantalons et 1 chemise
Chaque pantalon possède une couleur et un prix
Chaque chemise possède une couleur, une taille et un prix
Ainsi on constate que :
XML est très bien adapté à la représentation d'informations hiérarchiques.
Comprehensible par les humains et les ordinateurs

2)

XSD : lui même un fichier xml mais crée pour contenir la definition d'une structure d'un fichier xml utilisateur.

Soit A un fichier XML et un fichier Axsd contenant la definition structure du fichier A.
Tout autre fichier B, C, D, ... voulant être de même structure que A doit obligatoirement le definition de Axsd.

3)

Si un jour l'on est amené à publier le contenu de VALISE sur le web ou dans un fichier excel ou autre, la modification d'une donnée dans VALISE nous amenera à modifier manuellement le contenu html sur le web et/ou dans le fichier excel, ..
La technologie XSLT automatise cette tâche pour nous.




http://www.w3.org/TR/xslt
http://sebsauvage.net/comprendre/xml/
http://xml.chez.com/xslt/

2 oct. 2009

Vous avez dit CSS

Possibilité de séparer le fond d'un document de la forme .
Obtention d'une logique et harmonisation dans la structure des pages du site.

CSS 1

feuilles de style en cascade = Cascading Style Sheets
Le langage CSS1 constitue un mécanisme de feuille de style simple qui permet aux auteurs et aux lecteurs de lier un style (par exemple les polices de caractères, les couleurs, etc) à un document HTML.

CSS 2

CSS2 est un langage de feuille de style qui permet aux auteurs et aux lecteurs de lier du style (ex. les polices de caractères, l'espacement et un signal auditif) aux documents structurés (ex. documents HTML et applications XML)
CSS2 prévoit :
+des feuilles de style liées à un média spécifique ce qui autorise les auteurs à présenter des documents sur mesure pour les navigateurs visuels, les synthétiseurs de parole, les imprimantes, les lecteurs en Braille, les appareils portatifs, etc. +elle introduit aussi les notions de positionnement du contenu, de téléchargement des polices, de mise en forme des tables, de fonctions d'internationalisation, de compteurs et numérotage automatiques et quelques propriétés concernant l'interface utilisateur.




http://www.w3.org/Style/CSS/
http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css1/
http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/cover.html

1 oct. 2009

Que savoir sur le WEB FORM 2.0

Extension de HTML 4
Evolution des formulaires HTML
Web Forms 2.0 peut être vu comme une étape intermédiaire entre les formes HTML actuelles et XForms 1.0 jugé trop complexe à implémenter sur un navigateur. La proposition entérine donc de fait les architectures plaçant XForms sur le serveur telles que Orbeon PresentationServer ou Chiba.











http://xmlfr.org/actualites/decid/050412-0001
http://www.w3.org/Submission/web-forms2/

Que savoir sur le langage XHTML

XHTML 1

XHTML 1.0 est le processus de reformulation du HTML 4 en le langage XML 1.0
le langage XHTML est basé sur le XML
XHTML se fonde sur la syntaxe définie par XML, cette syntaxe est plus récente, et plus exigeante que celle définie par SGML sur laquelle repose HTML : il s'agit en effet de présenter un contenu affichable non seulement par les ordinateurs classiques, mais également sans trop de dégradation par d'autres peripheriques de sortie avec affichage numerique exemple le PDA.

XHTML 2

semantique très enrichit, ajout de nouvel elements

XHTML 3

Amélioration et simplification de la syntaxe XHTML2
XHTML 3 = XHTML 2 + CSS

XHTML 4

Ajout de nouveaux modules de scripting but d'automatiser certaines tâches

XHTML 5

Aussi connu sous le nom de WEB APPLICATION 1.0




http://www.w3.org/TR/2000/REC-xhtml1-20000126/
http://www.w3.org/TR/xhtml2/
http://www.cs.tut.fi/~jkorpela/html/xhtml3.html
http://www.tireme.fr/glossaire/SPEC-XHTML.pdf
http://forum.alsacreations.com/topic-2-28995-1-XHTML-5-2--etc.html
http://xhtml.com/fr/future/x-html-5-versus-xhtml-2/

Que savoir sur le langage HTML

HTML (HyperText Markup Language) est un ensemble de prescriptions stylistiques indiquées par des étiquettes exemple < HTML >.....< / HTML >, < HEAD >...< / HEAD >, < BODY >...< / BODY >. Ces étiquettes délimitent les composants d'un document World Wide Web (WWW ou Web en abrégé). Toutes les étiquettes sont entre chevrons (ouvert et fermé).

HTML a été inventé par Tim Berners-Lee du CERN (Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire).

SGML

Le langage SGML est un système qui permet de définir des langages de balisage. Les producteurs de documents balisent leurs documents en marquant les informations de structure, de présentation et sur la sémantique tout au long du document. HTML est un exemple de langage de balisage.

LES APPORTS MAJEURS D'UNE VERSION A UNE AUTRE

HTML 1

version premiere du langage - basique -

HTML 2

relecture de la DTD pour HTML

HTML 3

Les apports de HTML 3
+ insertion d'image dans les pages
+ defilement de texte sur image

HTML 4

Les apports du HTML 4.01 sont les suivants :
+ la gestion de plus d'options multimédia
+ la gestion des langages de script
+ la gestion des feuilles de style
+ l'obtention de meilleures capacités d'impression
+ l'amélioration de l'internationalisation des documents

HTML 5

Successeur de HTML 4
HTML 5 est compatible avec HTML 4 et XHTML x.x bien que certaines balises deviennent obsolètes. il peut prendre deux formes, l'une classique avec les balises HTML, l'autre en XML. Il comporte de nouveaux formulaires, intègre des médias variées, et ajoute un support de dessin et d'images. Le nouveau format intégrera une autre spécification en cours: Web Forms 2.0.

XHTML 1

XHTML 1.0 est le processus de reformulation du HTML 4 en le langage XML 1.0


http://www.w3.org/MarkUp/draft-ietf-iiir-html-01.txt
http://mendeleiev.cyberscol.qc.ca/carrefour/formation/html/html1.html
http://www.la-grange.net/w3c/html4.01/cover.html
http://www.la-grange.net/w3c/html4.01/intro/sgmltut.html
http://www.w3.org/TR/REC-html32
http://www.w3.org/MarkUp/html3/intro.html
http://www.w3.org/MarkUp/html-spec/html-pubtext.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/HTML_5
http://dev.w3.org/html5/spec/Overview.html

23 sept. 2009

Normes et Standards WEB

Le World Wide Web Consortium est chargé de promouvoir la compatibilité des technologies du world wide web telles que HTML, XHTML, XML, RDF, CSS, PNG, SVG, SOAP; le w3w n'émet pas des normes mais des recommandation à valeur de standards industriels.
Respecter ces recommandations permet de :

$$ Assurer une interopérabilité de la solution web (même présentation sur différents navigateur Internet Explorer, Firefox, Safari, Opera, Jaws et système d'exploitation Windows, Macintosh, Linux...)

$$ Assurer une portabilité certifiée de ces technologies (des plates formes différents PC, P.D.A, téléphone mobile (G.P.R.S et 3G), télévision)

$$ Assurer une accessibilité universelle aux contenus (permettre aussi la solution web soit à la portée de personnes atteintes d'un handicap physique, moteur ou neurophysiologique)

$$ Assurer un bon référencement ( car il est beaucoup plus facile pour un algorithme d'indexation de reconnaître un document répondant aux normes et standards qu'un autre qui ne respecte aucune logique de structure)

$$ Assurer la pérennité des documents (en effet une solution web respectant les normes sera en même de conserver les documents et les rendre accessible malgré les évolutions qui pourront être effectués sur les normes de ces technologies)

$$ Réduire du poids des documents

$$ Produire les contenus à moindre cout

$$ Faciliter une éventuelle évolution vers le XML

$$ Assurer une retro compatibilité vers les anciens navigateur

OUTILS GRATUITS

1. Contrôle qualité en utilisant la Web Developer Toolbar intégrée au navigateur FireFox

2. Validateur XHTML
3. Validateur CSS
4. Validateur d’accessibilité WAVE
5. http://www.w3qc.org/wiki/index.php?...

Ces outils peuvent être utilisés pour tester la validité d'une plate forme WEB.
Mon site ou ma plate forme web respecte-elle les Normes et standards du WEB recommandés par le World Wide Web Consortium ??
A vous de vérifier ou prenez attache avec un expert !

19 sept. 2009

Quelques bonnes pratiques TIC

Au profit de la communauté (ville, commune,...)
site portail pour l'emploi
bibliothèque en ligne pour les deficients visuels
Mise en place de point visio public
lien
Au profit des Entreprises
* l'établissement de bilans annuels sur les usages des TIC
* la promotion d'un usage responsable des outils en dotant l'entreprise d'une charte d'usage (ce qui évite les usages abusifs et contre productifs)
Voir suite
Exemple de charte de bonnes pratiques de Loire Numerique lien

17 sept. 2009

Information

L'information est produite !
en technologie informatique, l'information est le résultat qui émane de la synchronisation entre la donnée et un processus.
Une données comme vu dans l'article précédent est une valeur brute, appartenant à un secteur d'activité bien precis.

DONNEES

Une DONNÉES est une description élémentaire, souvent codée, d'une chose, d'un événement, etc.

Les DONNÉES peuvent être conservées et classées sous différentes formes : format papier, format numérique, alphabétique, images, sons, etc.

Différents types de données :

Données commerciales
Données concurrentielles
Données environnementales
Données financières
Données juridiques
Données médiatiques
Données sociétales
Données stratégiques
Données technologiques
etc.

Une grande partie du patrimoine immatériel d'une institution ou d'une entreprise ou d'une organisation s'appuie sur les applications logicielles dont celle-ci dispose mais surtout sur un referentiel de DONNEES fiables et auditables.

14 août 2009

Information = Donnees + Processus

LA DONNEES EST STOCKEE et L'INFORMATION EST PRODUITE

Trois grandes propriétés sont le partage de tous systèmes:

+ Un système à un but
+ Un système est un ensemble de composants
+ Un système à un fonctionnement régulier

I=D+P

Une information est le produit, le résultat de la données passée au travers d'une procédure, d'un programme, d'un processus.
Un données est une matière brute dont on a besoin pour produire l'information.

lisez la théorie de Tim Bryce lien

12 août 2009

Vous parlez Oracle ?

Tuyaux et techniques pour migrer, optimiser et comprendre sa base de données Oracle par l'exemple (LIEN)

7 août 2009

les outils de gestion de contenu web open source

Schema 1

schema 2

Article très intéressant réalisé par CLEVER AGE sur les systèmes de gestion de contenu. Je vous laisse lire et apprecier (texte)

3 août 2009

30 Compétences



PERSONNE RESSOURCE
EXPERT
Apprendre la complexité
Penser sa formation
Faire une conférence
METHODOLOGUE
Definir des objectifs
Conduire une recherche documentaire
Donner un conseil de methode
RESPONSABLE DES RELATIONS
ORGANISATEUR
Diriger une sequence
Mettre en groupes
Gerer les relations
ANIMATEUR
Guider et eduquer
Travailler en equipe
Negocier des contrats d'etudes
TECHNICIEN
REALISATEUR
Creer ses ressources
Definir une progression
Preparer une suite, un stage
UTILISATEUR
Mettre en oeuvre les outils
Utiliser l'audiovisuel
Utiliser les TICE
CHERCHEUR
CLINICIEN
Analyer des ressources
Analyser des pratiques
Diriger des projets
EXPERIMENTATEUR
Observer ses eleves
Faire de la didactique
Creer des situations d'apprentissage
EVALUATEUR
CONTROLEUR
Assurer la securité
Rapporter des travaux
Etre le gardien des programmes
CONSULTANT
Guider le travail personnel
Prospecter les besoins
Auditer les attentes

Vidéos des Rencontres Mondiales du Logiciel Libre du 7 au 11 juillet 2009

Vidéos des RMLL du 7 au 11 juillet 2009

les vidéos presentes :

* TuxFamily, 10 ans déjà, introspection sur ses mécanismes sociaux internes au cours du temps ans
* La passionnante histoire d’un livre sur Richard Stallman
* De BeOS à Haiku : Ouverture d’une communauté
* La Feuille de Route 2020 du Logiciel Libre, document collaboratif de prospective
* Table ronde politique: Neutralité du Net, liberté d’expression sur Internet...le Paquet Télécom et la loi HADOPI
* Le logiciel libre à l’articulation de la recherche et du développement économique-Table ronde
* Le logiciel libre à l’articulation de la recherche et du développement économique-La "vallée du libre"
* Le logiciel libre à l’articulation de la recherche et du développement économique-ouverture-ERP5 story
* Nuxeo : l’amélioration de la productivité par la GED
* kOLEKTi : un logiciel pour produire des documents personnalisés
* Retour d'expérience : Migration de serveurs Gram
* Retour d'expérience : virtualisation
* Les logiciels libres : soumis au droit d’auteur, dans un contexte international, une jurisprudence en émergence, des défis à relever
* Usage de Postgresl pour les sites Web de Leroy Merlin
* Retour expérience : BDD Hi-Media
* Les bases de données libres
* Les formats, sujet négligé par les entreprises ? Ce serait une erreur ! (suite)
* Les formats, sujet négligé par les entreprises ? Ce serait une erreur !
* Les outils de virtualisation libre
* Ouverture du thème entreprise
* Internet, santé et vie privée Internet et la protection des données échangées entre acteurs de santé Le respect de la vie privée des patients et usagers.
* Séance plénière d’ouverture

30 juil. 2009

Modèles économiques liés aux logiciels libres

Les différents modèles économiques
Services récurrents
Souscription
Support
Prestations de services autour du logiciel
Certification de matériels
Mutualisations
Mutualisation de développements au forfait
Écosystèmes autour de logiciels libres
Apports de valeur ajoutée
Vente / location de solutions clés-en-main
Base libre avec extensions propriétaires
Base libre avec outils de développement propriétaires
Licences
Licences multiples
Changement de licence
Apports indirects
Sponsoring, publicité sur site web
Produits dérivés
Mécénat
Comment financer le développement d'un logiciel libre
Par une seule personne
Par une communauté de fait
Par une communauté avec une existence légale
Par une entreprise
Par un état, des administrations, des collectivités

Pour obtenir de plus ample informations allez ( sur l'URL suivant ); le site principal Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres

Logiciel libre / Licence libre

un logiciel libre est un logiciel qui peut être utilisé, modifié et redistribué sans restriction par la personne à qui il a été distribué. Un tel logiciel est ainsi susceptible d'être soumis à étude, critique et correction. Cette caractéristique confère aux logiciels libres une certaine fiabilité et réactivité. (Pour plus de détails)

Une licence est libre lorsqu'elle garantit à l'utilisateur du logiciel un certain nombre de libertés fondamentales.
La liberté d'exécuter le logiciel
La liberté d'étudier le fonctionnement du logiciel et de l'adapter à ses besoins
La liberté de redistribuer des copies du logiciel
La liberté d'améliorer le logiciel et de publier ces améliorations
Types de licences libre :
Licences copyleft
Licences permissives
Pour plus de détails suite...

27 juil. 2009

Frameworks PHP

Un framework n'est ni un CMS ni un API.
Un framework est un ensemble de bibliothèques, d'outils et de conventions permettant le développement d'applications logicielles.

CakePHP (PHP4&5, MySQL, PostgreSQL, SQLite et AdoDB)
eZ Components (PHP5.1, PEAR)
Mojavi (PHP4&5, MySQL, PostgreSQL, DPO, Creole)
Prado (PHP5.0.2, MySQL)
Phocoa (PHP5, MySQL, Smarty, Phing)
phpMVC (PHP4 et plus, MySQL)
PHP on Trax (PHP5, PEAR::DB)
Seagull (PHP5, PEAR)
Symfony (PHP5, MySQL, PostgreSQL, Oracle, MSSQL, Creole) ++
WACT (PHP4&5, MySQL)
Zend Framework (PHP5.0.4, PECL::PDO)+

Content Management System (CMS) PHP

Un CMS est un programme (ou ensemble de scripts) permettant de faire de la gestion de contenu sans connaître obligatoirement la programmation.
En bref, c'est un bon outil pour créer son site internet tout seul.

SPIP
JOOMLA
eZ Publish
CMS Made Simple
Typo3
Dupral
Jahia WCI
Plone
Xoops
Nuxeo DM
DotNetNuke
Freedom ECM
Alfresco WCM
etc ...

3 juil. 2009

CODEWAF - Communauté de Dévéloppeurs Web d'Afrique Francophone

appel à candidature
http://intif.francophonie.org/affiche_article.php3?id_article=153
resultat de l'appel
http://intif.francophonie.org/affiche_article.php3?id_article=154
source
http://www.club-solidarite-numerique.org/index.php?option=com_content&task=view&id=104

La communauté virtuelle de développeurs web d'afrique francophone est une initiative conjointe du club de la solidarité numérique, de l'organisation internationale de la francophonie, et de l'Association Ivoirienne pour Linux et les logiciels libres.

Animateurs du réseau

Club de la Solidarité Numérique
Association pour Linux et les Logiciels libres
Organisation Internationale de la francophonie

Liste de diffusion & Forums

Une liste de diffusion programmation-web-afrique@diffusion.francophonie.org disponible pour tout développeur d'afrique francophone désireux d'échanger autour de problématiques techniques liés au développement web.

Liste des participants


Akouvi DJOMATIN BENIN
Aboubacar Fodé CAMARA GUINEE
Leonce KONE COTE d'IVOIRE
Daniel DINDJI COTE d'IVOIRE
Florent YOUZAN COTE d'IVOIRE
Félix KOUASSI COTE d'IVOIRE
Emmanuel ASSOKO COTE d'IVOIRE
Mohamed Enzim SOUNKERE COTE d'IVOIRE
Niriwa COULIBALY COTE d'IVOIRE
Aboubacar Sidik TOURE COTE d'IVOIRE
Abdouramane LY SENEGAL
Aboubacar NDIAYE SENEGAL
Mouhammad Abdallah DIALLO SENEGAL
Alpha Yaya SANOGO MALI
Mohamed DIALLO MALI
Elie SAWAGODO BURKINA FASO
Arsène KAFANDO BURKINA FASO
Idrissa Martiel BOURGOU BURKINA FASO
Yaya SIRIMA BURKINA FASO
Herman DAHANI BURKINA FASO
François KOMBASSERE BURKINA FASO
Mahamadou NIKIAMA BURKINA FASO
Gbedeh Komi ATTIOGBE TOGO
Nahmsath Palabé YABOURI TOGO
Passassim ATADE NANGUIT TOGO

Site
CODEWAF - Communauté de Dévéloppeurs Web d'Afrique Francophone

28 mai 2009

Les standards de gestion des processus IT

Source du Dossier

PMBoK : Project Management Body of Knowledge

Le Project Management Body of Knowledge, ou PMBoK, est un standard international élaboré par le PMI (Project Management Institute) qui décrit l‘ensemble des pratiques et des techniques avancées intervenant dans le management d‘un projet (corpus de connaissances). Il fournit un référentiel commun avec une terminologie claire et précise des phases, livrables et compétences nécessaires au chef de projet. Tous les aspects du management de projet y sont traités avec une approche ” process ” qui permet de systématiser les meilleures pratiques et donc de s‘améliorer en permanence.

Le PMI a catégorisé les groupes de processus en cinq groupes cohérents :

* Démarrage ;
* Planification ;
* Réalisation ;
* Contrôle ;
* Clôture.

pmbok

Comme le montre la figure, ces groupes de processus, qui se répètent dans chacune des phases du projet, s‘avèrent critiques pour s‘assurer qu‘aucune étape n‘est involontairement oubliée. De même, les disciplines que le chef de projet sera amené à maîtriser sont divisées en neuf domaines de Management :

* management de l‘intégration du projet ;
* management du contenu du projet ;
* management des délais du projet ;
* management des coûts du projet ;
* management de la qualité du projet ;
* management des ressources humaines du projet ;
* management de la communication du projet ;
* management des risques du projet ;
* management des approvisionnements du projet.

Le PMBoK s‘intègre parfaitement dans une démarche d‘amélioration continue des processus basée sur une approche CMMI ou ISO 9001 en proposant des pratiques éprouvées issues de l‘expérience de plus de 90000 personnes travaillant ensemble au sein du PMI dans plus de 100 pays.

Le PMBoK sert également de support à la certification de chef de projet PMP (Project Management Professional) actuellement décernée à 44000 personnes à travers le monde par le PMI.
SWEBoK : SoftWare Engineering Body of Knowledge

Version génie logiciel du PMBoK, SWEBoK est un corpus de connaissances en génie logiciel. Ce corpus a été élaboré par l‘IEEE entre 1998 et 2004. La version de 2004 a reçu l‘approbation de ” Industrial Advisory Board ” américain.

L‘IEEE a reconnu 8 disciplines reliées au génie logiciel :

* Computer engineering ;
* Project management ;
* Computer science ;
* Quality management ;
* Management ;
* Software ergonomics ;
* Mathematics ;
* Systems engineering.

Comme le montre la figure suivante, à travers ce guide, l‘IEEE traite 10 domaines du génie logiciel :

* Software requirements ;
* Software design ;
* Software construction ;
* Software testing ;
* Software maintenance ;
* Software configuration management ;
* Software engineering management ;
* Software engineering process ;
* Software engineering tools and methods ;
* Software quality.

swebok
Six Sigma
Présentation de Six Sigma

Six sigma est à l‘origine une démarche qualité née au coeur même de Motorola en 1979. Limitée dans un premier temps aux techniques de SPC (Statistical Process Control / MSP Maitrise Statistique des Procédés), elle est rapidement devenue une véritable méthode de management englobant l‘ensemble des fonctions de l‘entreprise. Six sigma a ensuite été perfectionnée par d‘autres groupes, comme General Electric, l‘ayant mise en oeuvre avec succès. Six sigma est une méthode de management du progrès particulièrement efficace. Issue d‘une démarche fortement connotée qualité à l‘origine, Six sigma est relativement simple sur le plan du principe. Elle est fondée sur une règle : pour satisfaire les clients, il faut délivrer des produits de qualité .

La méthode Six Sigma offre techniques et outils pour améliorer drastiquement la capacité de production des processus tout en réduisant les défauts. Orientée processus de production à l‘origine, la méthode a été généralisé à tous les domaines, IT y compris, et recherche la régularité absolue. En fait la variabilité de la qualité finale est essentiellement la conséquence de l‘instabilité des composants entrant dans la fabrication du produit, de l‘imprécision des procédures de travail et plus globalement de la complexité des processus. 6 sigma impose de rester dans les limites en appliquant le principe : “if you can measure how many defects you have in a process, you can systematically figure out how to eliminate them and get as close to zero defects as possible”. Autrement dit, en résumé : “Si on peut mesurer on peut corriger”.
Six Sigma, la culture de la mesure au service de l‘amélioration continue

Six Sigma n‘est pas une amélioration ponctuelle. C‘est une réforme de fond de l‘ensemble de l‘organisation et des mentalités. Il faut ainsi soigner la formation, l‘accompagnement du changement et la mesure continue de la performance. L‘effort doit être continuellement soutenu.

La réussite du projet repose sur des paramètres bien précis :

* une approche par projet, chacun bien délimité en termes de périmètre d‘action, de délais et de budget ;
* des objectifs clairs, concrets, précis et connus ;
* une formation extensive de l‘ensemble des acteurs directs et indirects du projet ;
* une coopération et une participation de tous les instants ;
* un système de mesure performant.

La généralisation de la mesure est à la base de la méthode Six Sigma. Cependant, cet esprit de mesure ne se limite pas à la phase de mise en oeuvre du projet. C‘est en fait une véritable culture de la mesure qu‘il s‘agit d‘instaurer au sein même de l‘organisation. Il existe deux méthodes de mise en oeuvre de Six Sigma :
DMAIC : Define, Mesure, Analyse, Improve, Control

La méthodologie DMAIC doit être utilisée quand un produit ou un processus sont déjà existants au sein de l‘entreprise, mais ne rencontrent pas la spécification de client ou n‘exécutent pas en juste proportion.

dmaic

Définir répond à : Quel problème doit être résolu ? Il permet d‘identifier :

* le produit ou le processus à améliorer ;
* ce que le client souhaite avec le CTQ (Critical to Quality).

Mesurer répond à : Quelles sont les performances du processus ? Il permet de mesurer :

* les caractéristiques clefs du produit ;
* les critères de performance du processus.

Analyser répond à : Où et quand apparaissent les défauts ? Il permet de :

* Analyser les différentes parties du processus ou du produit qui affectent la qualité ou contribuent au problème ;
* Trouver les causes de ce problème.

Améliorer répond à : Comment améliorer les performances du processus ? Il permet de :

* Résoudre les problèmes en appliquant les bonnes pratiques.

Contrôler répond à : Quels contrôles mettre en place pour maintenir le gain acquis ? Il permet de :

* Partager les leçons apprises ;
* S‘assurer de la pérennité des acquis.

DMADV : Define, Measure, Analyze, Design, Verify

DMADV, encore appelé DFSS pour Design For Six Sigma, est utilisé pour concevoir de nouveaux produits ou services.

* Définir les objectifs de projet et les exigences client (interne et externe) ;
* Mesurer et déterminer les besoins clients et cahier des charges, benchmark des concurrents ;
* Analyser les options de processus afin de rencontrer les besoins client ;
* Concevoir les processus afin de rencontrer les besoins client ;
* Vérifier l‘exécution de la conception et sa capacité à valider les besoins clients.

dmadv
ISO 9001v2000 “Systèmes de management de la qualité - Exigences”
Présentation d’ISO 9001v2000

Les normes ISO 9000 ont été originellement écrites en 1987, puis elles ont été révisées en 1994 et à nouveau en 2000. La norme ISO 9001v2000 porte essentiellement sur les processus permettant de réaliser un service ou un produit.

La présente norme internationale encourage l‘adoption d‘une approche processus lors du développement, de la mise en oeuvre et de l?amélioration de l‘efficacité d‘un système de management de la qualité, afin d‘accroître la satisfaction des clients par le respect de leurs exigences. Lorsqu‘elle est utilisée dans un Système de Management de la Qualité (SMQ), cette approche souligne l‘importance de :

* comprendre et de satisfaire les exigences ;
* considérer les processus en termes de valeur ajoutée ;
* mesurer la performance et l‘efficacité des processus ;
* améliorer en permanence des processus sur la base de mesures objectives.

Le Système de Management de la Qualité (SMQ) s‘appuie ainsi sur divers documents permettant de décrire, avec un niveau de précision grandissant, les activités de l‘entreprise et leurs interactions :

smq

* Le Manuel de Management de la Qualité (MMQ) qui présente la politique, l‘organisation et les principes mis en oeuvre dans le cadre du SMQ ainsi que les dispositions pour assurer la conformité aux exigences contractuelles, internes et réglementaires;
* Le Plan Qualité Projet (PQP) qui décrit l‘organisation de l‘équipe de projet, la gestion des configurations, les processus de réalisation et les règles établies au sein du projet en adéquation avec le SMQ mis en place et les souhaits des clients.
* Les processus décrivent l‘enchaînement des activités réalisées, les responsabilités, les éléments d‘entrées et de sorties.
* Les procédures qui décrivent les tâches à réaliser pour une activité donnée faisant partie d‘un processus.
* Les instructions qui décrivent la façon d‘effectuer une tâche donnée.
* Les documents d‘enregistrement qualité sont mis en place pour faciliter la gestion et l‘enregistrement des activités. Constitués de modèles de document, ils permettent de rendre compte, d‘établir et de conserver l‘information.

La réalisation du Système de Management de la Qualité (SMQ) doit répondre aux exigences des 8 chapitres de la norme décrits ci-dessous :

iso
PDCA : Plan, Do, Check, Act, “la roue de Deming”

Défini par Deming, PDCA est basé sur le concept de la remise en cause des méthodes de travail, des flux d‘information, des fonctions, des documents de travail utilisés… afin de mettre en place l‘amélioration continue. La remise en cause comprend l‘analyse de toutes les anomalies rencontrées dans la vie d‘une entreprise, vues ou pas encore vues par les clients. Ce processus constitué de 4 phases (Planifier, Faire, Vérifier, Améliorer) permet de structurer la démarche d‘amélioration continue définie par ISO 9001v2000. En effet, le cycle PDCA est une méthode qui permet d‘exécuter un travail de manière efficace et rationnelle.

pdca
Références

Les livres de référence :

* PMI Project Management Institute. “A Guide to the Project Management Body of Knowledge (Pmbok Guide) Third Edition”. Project Management Institute, 2004.
* Maurice Pillet. “Six Sigma : Comment l‘appliquer”. Editions d‘Organisation, 2003.
* Thomas Pyzdek. “The Six Sigma Handbook : A Complete Guide for Green Belts, Black Belts, and Managers at All Levels”. McGraw-Hill Companies, 2003.
* DIN. “Systèmes de management de la qualité ; Exigences ; (ISO 9001 :2000), Version trilingue EN ISO 9001:2000″. DIN, 2000.

6 mai 2009

Software Architecture link

lien
http://www.bredemeyer.com/links.htm

Comptes Rendus de Rencontres RSI

Réseaux et Systèmes d'Information Sécurisés à Toulouse
Lien des cours très interessants (lien)
http://www.ossir.org/resist/supports/index.html

29 avr. 2009

Slides de la Conference PHPQuebec 2009

Boostez vos connaissances en PHP
lien

Secteur de recherche en ingenieurie logiciel

Architecture orientée services (SOA)
Architecture dirigée par les modèles (MDA)
Web sémantique (WS)

22 avr. 2009

Les 20 plus grosses fusions informatiques

SOURCE

1 - Hewlett-Packard - Compaq Computer (2002) : 25 milliards de dollars

Le 19 mars 2002, au terme d'un an de discussion d'une violence unique dans les annales de l'économie américaine, une maigre majorité des actionnaires de HP (51,8%) vote en faveur de la fusion avec Compaq, malgré l'opposition de la Fondation Packard et les héritiers des deux fondateurs - qui représentaient plus de 18% des droits de vote. Ce regroupement de deux géants de l'informatique, pour un montant total de 25 milliards de dollars, devait alors les placer sur un pied d'égalité avec le numéro un de l'époque, IBM.

2 - Symantec - Veritas (2004) : 13,5 milliards de dollars

L'éditeur de logiciels de sécurité Symantec, connu pour son antivirus Norton, rachète Veritas, le spécialiste du stockage informatique en décembre 2004, pour 13,5 milliards de dollars. Le nouvel ensemble se situera, à l'époque, au quatrième rang mondial derrière Microsoft, Oracle et SAP.

3 - Oracle - Peoplesoft (2004) : 11 milliards de dollars

Après dix-huit mois de bataille boursière et judiciaire, le conseil d'administration de PeopleSoft accepte, en décembre 2004, la sixième et dernière offre d'Oracle. Pour l'emporter, la firme dirigée par Larry Ellison a dû relever son prix de 10%. Avec cette acquisition d'un montant de 11 milliards de dollars, Oracle, numéro un mondial des logiciels de bases de données, se renforce dans les logiciels de gestion pour les entreprises pour rattraper une partie du chemin qui le sépare du numéro un mondial des progiciels de gestion, l'allemand SAP.

4 - Oracle - BEA Systems (2008) : 8,4 milliards de dollars

L'éditeur américain de logiciels Oracle s'offre BEA Systems pour 8,4 milliards de dollars en janvier 2008. La persévérance d'Oracle a payé puisque son offre initiale avait été sèchement rejetée par BEA Systems, non pas pour sauvegarder son indépendance, mais en raison du prix, jugé trop bas. Le concepteur de logiciel estimait valoir au moins 8,7 milliards de dollars.

5 - Oracle - Sun Microsystems (2009) : 7,4 milliards de dollars

Deux semaines après l'échec de son projet de mariage avec IBM pour des raisons de prix, . A la surprise du marché, les deux groupes ont annoncé, le 20 avril 2009, avoir signé un accord de rachat, pour environ 7,4 milliards de dollars. La transaction permettra à Oracle, outre de s'offrir une part de marché d'environ 10% sur le marché mondial des serveurs, de prendre possession de deux technologies clefs de Sun Microsystems : le langage de programmation informatique Java et le système d'exploitation Solaris.

6 - Cisco - Scientific-Atlanta (2005) : 6,9 milliards de dollars

L'équipementier internet Cisco s'offre Scientific-Atlanta, le deuxième fabricant américain de décodeurs de télévision numérique en novembre 2005, marquant un coup d'accélérateur brutal à la restructuration du secteur de l'électronique de loisir.

7 - Oracle - Siebel (2005) : 5,85 milliards de dollars

A peine plus de sept mois après avoir réussi sa prise de contrôle hostile de PeopleSoft, l'entreprise américaine dirigée par Larry Ellison met la main en septembre 2005 sur Siebel, fondé par Tom Siebel, un ancien cadre d'Oracle. L'opération fait d'Oracle le plus gros opérateur de logiciels de relation client pour les entreprises.

8 - IBM - Cognos (2009) : 4,9 milliards de dollars

Depuis le 1er janvier 2009, l'éditeur canadien de logiciels décisionnels Cognos fait partie intégrante d'IBM. Un an après avoir finalisé l'acquisition de ce leader du "business intelligence" pour 4,9 milliards de dollars, le groupe Cognos n'existe plus mais la marque reste, tandis que ses 4.000 salariés sont devenus des " IBMers ".

9 - SAP - Business Objects (2008) : 4,2 milliards de dollars

L'éditeur allemand SAP, numéro un mondial incontesté des logiciels pour entreprises, rachète 87,2% du capital du français Business Objects en janvier 2008. La transaction avait pour objectif de doubler la taille du marché de SAP à l'horizon 2010, marquant un changement de cap considérable pour le géant allemand.

10 - Sun Microsystems - StorageTek (2005) : 4,1 milliards de dollars

Le constructeur informatique Sun Microsystems, ex-gloire des années 90 dont les positions sur le marché des serveurs s'effritent régulièrement, conclut un accord en juin 2005 portant sur l'acquisition, pour 4,1 milliards de dollars en numéraire, de StorageTek, un des leaders du stockage de données.

11 - Oracle - Hyperion (2007) : 3,3 milliards de dollars

Après les rachats de PeopleSoft et de Siebel, Larry Ellison signe une nouvelle acquisition d'ampleur dans le logiciel en mars 2007, en mettant la main sur l'américain Hyperion. Cette opération renforce Oracle sur le marché des logiciels d'aide à la décision.

12 - Cisco - WebEx (2007) : 3,2 milliards de dollars

En mars 2007, l'américain Cisco lance une offre amicale de 3,2 milliards de dollars sur son compatriote WebEx, leader des services de visioconférence sur internet avec les deux tiers de ce marché. Avec cette acquisition, Cisco vient contrer les ambitions de Microsoft qui, en 2003, s'était offert PlaceWare, le concurrent de WebEx.

13 - IBM - Rational Software (2002) : 2,1 milliards de dollars

En décembre 2002, IBM rachète Rational Software pour 2,1 milliards de dollars en cash. Cet éditeur de logiciels de la Silicon Valley, qui compte 3.400 salariés, est spécialisé dans les outils de développement qui permettent aux entreprises d'intégrer leurs différentes applications stratégiques au format Web, tout en les rendant accessibles dans de multiples environnements informatiques.

14 - EMC - Documentum (2003) : 1,7 milliard de dollars

Le constructeur d'équipements de stockage de données EMC rachète en octobre 2003 Documentum, un éditeur de logiciels de gestion de documents, pour 1,7 milliard de dollars en actions.

15 - IBM - FileNet (2006) : 1,6 milliard de dollars

En rachetant l'éditeur spécialisé dans les solutions de gestion de contenu pour 1,6 milliard de dollars payé cash, IBM entend encore accélérer sa stratégie de croissance dans le logiciel.

16 - Atos Origin - Schlumberger Sema (2003) : 1,3 milliard d'euros

La SSII franco-hollandaise Atos Origin reprend la société de services informatiques du groupe pétrolier, Schlumberger Sema, en septembre 2003, pour un peu moins de 1,3 milliards d'euros en actions et numéraire. Le groupe combiné, qui conserve Atos Origin comme dénomination, donne naissance à l'un des tout nouveaux leaders en Europe.

17 - Microsoft - Navision (2002) : 1,3 milliard de dollars

En s'emparant de l'éditeur danois Navision pour 1,3 milliard de dollars en cash et en actions, en mai 2002, la firme de Bill Gates confirme son engagement sur le marché des applications destinées aux entreprises.

18 - EMC - Legato (2003) : 1,2 milliard de dollars

L'américain EMC, numéro un mondial du stockage, repend Legato Systems en juillet 2003 pour 1,2 milliard de dollars -, en actions - en vue de conforter sa stratégie de développement dans les logiciels.

19 - Arris - Tandberg (2007) : 1,2 milliard de dollars

Le groupe norvégien Tandberg, spécialiste des équipements vidéo, est racheté en janvier 2007 par Arris, groupe américain spécialisé dans les équipements pour les réseaux de voix et de données sur IP.

20 - Microsoft - Great Plains Software (2000) : 1,1 milliard de dollars

Microsoft acquiert en décembre 2000, pour 1,1 milliard de dollars par échange d'actions l'américain Great Plains Software, éditeur de logiciels de gestion pour PME. Jusque-là spécialisé dans les systèmes d'exploitation ou de bureautique, le numéro un mondial du logiciel entreprend avec cette opération un virage stratégique.

15 avr. 2009

Conferences Internationnales en Technologies logicielles

JAX09
no fluff just stuff 2009
RAILSCONF2009
RAILWAYCON
JAVAONE
JAZOON2009

Entrepôts de données - Bases de données - Datamarts - Datamining - ETL - Cube OLAP

le texte suivant est extrait de l'article lien

1.A quoi correspond un entrepôt de données ? En quoi est-ce différent d'une base de données ?
Un entrepôt de données consolide l'information jugée stratégique pour l'entreprise dans une même base de données appelée entrepôt. Cette information décisionnelle est ensuite utilisée par les différents départements de l'entreprise généralement au niveau de la direction. Les données d'un entrepôt se présentent sous la forme d'indicateurs de pilotage quantitatifs ou qualitatifs.

Si un entrepôt de données utilise le principe des bases de données relationnelles, il s'en distingue par de nombreux points. Tout d'abord, il n'applique pas un modèle relationnel précis, car les tables n'ont pas toujours une structure commune. Les entrepôts de données servent justement à croiser des informations a priori non liées directement (exemple : rattacher les informations des systèmes de production avec celles du support client pour en tirer des requêtes qui font sens).

2.Quels sont les critères d'un entrepôt de données performant ?
Parvenir à fournir des informations clés aux décideurs si possible "à la volée". Cela implique non seulement d'avoir extrait ces informations, de s'être assuré qu'elles soient valides et fraîches, mais aussi que les requêtes qui en découlent s'exécutent rapidement. Afin d'établir des statistiques d'évolution, ou de construire des plans, les entrepôts de données conservent généralement un historique des données. Ajouté à cela la diversité des sources, cela provoque des bases de taille colossale, de quelques centaines de gigaoctets à plusieurs dizaines de teraoctets.

Un gros travail s'avère donc nécessaire pour optimiser la base de données, notamment en travaillant sur les index, la gestion des doublons, les procédures d'extractions et de transformation des données mais aussi sur la création de petits îlots optimisés, appelés datamarts.

3.Qu'est ce que les datamarts et le datamining ?
Le datamart est une extraction d'une partie d'un entrepôt de données pour répondre à une application dédiée (ex : le règlement de contentieux chez une banque). Pour ne pas multiplier l'espace de stockage réservé à l'entrepôt de données, la création de datamarts est souvent limitée. Cependant, elle permet de gagner parfois en efficacité sur le temps d'exécution des requêtes SQL.

Les datamarts sont aussi souvent utilisés lorsqu'une entreprise ne peut plus multiplier les optimisations sur son entrepôt de données sans pénaliser d'autres applications. Elle crée alors un nouvel environnement dédié à cette nouvelle application dont elle peut gérer librement les index. Le datamining regroupe toutes les solutions à même de piocher dans des données éparses pour en tirer des informations d'aide à la décision.

4.Pourquoi rattache-t-on les ETL des entrepôts de données ?
Une solution ETL correspond à la phase amont d'un entrepôt de données, celle qui consiste à collecter l'information. Un ETL extrait les données, les transforme et les charge dans la base finale. Cela nécessite des connecteurs particuliers car l'information dans l'entreprise est souvent disséminée entre les gros systèmes de type mainframe, l'intranet d'entreprise, les fichiers plats ou encore les documents papiers.

La transformation implique également de nouveaux enjeux, notamment celle de la normalisation des noms de champs, la suppression de doublons inutiles (certains étant conservés pour l'historique ou pour d'autres statistiques) et l'harmonisation du type de la donnée (taille, format...). Il existe de nombreux ETL sur le marché mais certaines entreprises préfèrent créer leur propre outil maison.

5.A quoi servent les outils décisionnels et pourquoi parle-t-on parfois de cube OLAP ?
Une fois l'information structurée, reste à mettre en place les rapports formatés (ou reporting) présentant ces informations. C'est le rôle des logiciels décisionnels qui se chargent aussi bien du datamining que de la présentation de ces données. Les cubes OLAP correspondent à une technique d'analyse particulière organisant les données sous forme de dimensions.

Dans le cas des entrepôts de données, OLAP offre aux décideurs plusieurs vues différentes sur une même information. Là encore, les calculs se montrent complexes et donc parfois lourds selon le nombre de dimensions différentes choisi. Le multidimensionnel est au coeur même des entrepôts de données. Il est soit présent directement au sein des bases de données (ces bases sont alors appelées bases de données multidimensionnelles et non plus relationnelles), soit au sein d'outils décisionnels qui émulent alors la technique d'analyse OLAP.

Source

9 avr. 2009

Les Normes en ergonomie des logiciels

"la normalisation n’est souvent perçue par les entreprises qu’au travers de son corollaire, la certification, passage obligé pour être reconnu par ses pairs, voire sanction indispensable pour être présent sur un marché "
Lien

2 avr. 2009

Ressources BASES DE DONNEES - DATA WAREHOUSING - DATA MINIG

le service de sciences des systèmes d'information lien
Centre de Recherche en ingénierie des systèmes d'information lien
Gestion des base de données lien
Théorie des bases de données I lien
Théorie des bases de données II1 lien
Théorie des bases de données II2 lien

26 mars 2009

Les obligations juridiques du mainteneur de logiciels

La maintenance de logiciels peut faire l'objet d'un contrat informatique complexe. Il convient d'en étudier attentivement les clauses pour éviter les litiges. L'analyse des avocats du cabinet Alix. suite