29 avr. 2009

Slides de la Conference PHPQuebec 2009

Boostez vos connaissances en PHP
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Secteur de recherche en ingenieurie logiciel

Architecture orientée services (SOA)
Architecture dirigée par les modèles (MDA)
Web sémantique (WS)

22 avr. 2009

Les 20 plus grosses fusions informatiques

SOURCE

1 - Hewlett-Packard - Compaq Computer (2002) : 25 milliards de dollars

Le 19 mars 2002, au terme d'un an de discussion d'une violence unique dans les annales de l'économie américaine, une maigre majorité des actionnaires de HP (51,8%) vote en faveur de la fusion avec Compaq, malgré l'opposition de la Fondation Packard et les héritiers des deux fondateurs - qui représentaient plus de 18% des droits de vote. Ce regroupement de deux géants de l'informatique, pour un montant total de 25 milliards de dollars, devait alors les placer sur un pied d'égalité avec le numéro un de l'époque, IBM.

2 - Symantec - Veritas (2004) : 13,5 milliards de dollars

L'éditeur de logiciels de sécurité Symantec, connu pour son antivirus Norton, rachète Veritas, le spécialiste du stockage informatique en décembre 2004, pour 13,5 milliards de dollars. Le nouvel ensemble se situera, à l'époque, au quatrième rang mondial derrière Microsoft, Oracle et SAP.

3 - Oracle - Peoplesoft (2004) : 11 milliards de dollars

Après dix-huit mois de bataille boursière et judiciaire, le conseil d'administration de PeopleSoft accepte, en décembre 2004, la sixième et dernière offre d'Oracle. Pour l'emporter, la firme dirigée par Larry Ellison a dû relever son prix de 10%. Avec cette acquisition d'un montant de 11 milliards de dollars, Oracle, numéro un mondial des logiciels de bases de données, se renforce dans les logiciels de gestion pour les entreprises pour rattraper une partie du chemin qui le sépare du numéro un mondial des progiciels de gestion, l'allemand SAP.

4 - Oracle - BEA Systems (2008) : 8,4 milliards de dollars

L'éditeur américain de logiciels Oracle s'offre BEA Systems pour 8,4 milliards de dollars en janvier 2008. La persévérance d'Oracle a payé puisque son offre initiale avait été sèchement rejetée par BEA Systems, non pas pour sauvegarder son indépendance, mais en raison du prix, jugé trop bas. Le concepteur de logiciel estimait valoir au moins 8,7 milliards de dollars.

5 - Oracle - Sun Microsystems (2009) : 7,4 milliards de dollars

Deux semaines après l'échec de son projet de mariage avec IBM pour des raisons de prix, . A la surprise du marché, les deux groupes ont annoncé, le 20 avril 2009, avoir signé un accord de rachat, pour environ 7,4 milliards de dollars. La transaction permettra à Oracle, outre de s'offrir une part de marché d'environ 10% sur le marché mondial des serveurs, de prendre possession de deux technologies clefs de Sun Microsystems : le langage de programmation informatique Java et le système d'exploitation Solaris.

6 - Cisco - Scientific-Atlanta (2005) : 6,9 milliards de dollars

L'équipementier internet Cisco s'offre Scientific-Atlanta, le deuxième fabricant américain de décodeurs de télévision numérique en novembre 2005, marquant un coup d'accélérateur brutal à la restructuration du secteur de l'électronique de loisir.

7 - Oracle - Siebel (2005) : 5,85 milliards de dollars

A peine plus de sept mois après avoir réussi sa prise de contrôle hostile de PeopleSoft, l'entreprise américaine dirigée par Larry Ellison met la main en septembre 2005 sur Siebel, fondé par Tom Siebel, un ancien cadre d'Oracle. L'opération fait d'Oracle le plus gros opérateur de logiciels de relation client pour les entreprises.

8 - IBM - Cognos (2009) : 4,9 milliards de dollars

Depuis le 1er janvier 2009, l'éditeur canadien de logiciels décisionnels Cognos fait partie intégrante d'IBM. Un an après avoir finalisé l'acquisition de ce leader du "business intelligence" pour 4,9 milliards de dollars, le groupe Cognos n'existe plus mais la marque reste, tandis que ses 4.000 salariés sont devenus des " IBMers ".

9 - SAP - Business Objects (2008) : 4,2 milliards de dollars

L'éditeur allemand SAP, numéro un mondial incontesté des logiciels pour entreprises, rachète 87,2% du capital du français Business Objects en janvier 2008. La transaction avait pour objectif de doubler la taille du marché de SAP à l'horizon 2010, marquant un changement de cap considérable pour le géant allemand.

10 - Sun Microsystems - StorageTek (2005) : 4,1 milliards de dollars

Le constructeur informatique Sun Microsystems, ex-gloire des années 90 dont les positions sur le marché des serveurs s'effritent régulièrement, conclut un accord en juin 2005 portant sur l'acquisition, pour 4,1 milliards de dollars en numéraire, de StorageTek, un des leaders du stockage de données.

11 - Oracle - Hyperion (2007) : 3,3 milliards de dollars

Après les rachats de PeopleSoft et de Siebel, Larry Ellison signe une nouvelle acquisition d'ampleur dans le logiciel en mars 2007, en mettant la main sur l'américain Hyperion. Cette opération renforce Oracle sur le marché des logiciels d'aide à la décision.

12 - Cisco - WebEx (2007) : 3,2 milliards de dollars

En mars 2007, l'américain Cisco lance une offre amicale de 3,2 milliards de dollars sur son compatriote WebEx, leader des services de visioconférence sur internet avec les deux tiers de ce marché. Avec cette acquisition, Cisco vient contrer les ambitions de Microsoft qui, en 2003, s'était offert PlaceWare, le concurrent de WebEx.

13 - IBM - Rational Software (2002) : 2,1 milliards de dollars

En décembre 2002, IBM rachète Rational Software pour 2,1 milliards de dollars en cash. Cet éditeur de logiciels de la Silicon Valley, qui compte 3.400 salariés, est spécialisé dans les outils de développement qui permettent aux entreprises d'intégrer leurs différentes applications stratégiques au format Web, tout en les rendant accessibles dans de multiples environnements informatiques.

14 - EMC - Documentum (2003) : 1,7 milliard de dollars

Le constructeur d'équipements de stockage de données EMC rachète en octobre 2003 Documentum, un éditeur de logiciels de gestion de documents, pour 1,7 milliard de dollars en actions.

15 - IBM - FileNet (2006) : 1,6 milliard de dollars

En rachetant l'éditeur spécialisé dans les solutions de gestion de contenu pour 1,6 milliard de dollars payé cash, IBM entend encore accélérer sa stratégie de croissance dans le logiciel.

16 - Atos Origin - Schlumberger Sema (2003) : 1,3 milliard d'euros

La SSII franco-hollandaise Atos Origin reprend la société de services informatiques du groupe pétrolier, Schlumberger Sema, en septembre 2003, pour un peu moins de 1,3 milliards d'euros en actions et numéraire. Le groupe combiné, qui conserve Atos Origin comme dénomination, donne naissance à l'un des tout nouveaux leaders en Europe.

17 - Microsoft - Navision (2002) : 1,3 milliard de dollars

En s'emparant de l'éditeur danois Navision pour 1,3 milliard de dollars en cash et en actions, en mai 2002, la firme de Bill Gates confirme son engagement sur le marché des applications destinées aux entreprises.

18 - EMC - Legato (2003) : 1,2 milliard de dollars

L'américain EMC, numéro un mondial du stockage, repend Legato Systems en juillet 2003 pour 1,2 milliard de dollars -, en actions - en vue de conforter sa stratégie de développement dans les logiciels.

19 - Arris - Tandberg (2007) : 1,2 milliard de dollars

Le groupe norvégien Tandberg, spécialiste des équipements vidéo, est racheté en janvier 2007 par Arris, groupe américain spécialisé dans les équipements pour les réseaux de voix et de données sur IP.

20 - Microsoft - Great Plains Software (2000) : 1,1 milliard de dollars

Microsoft acquiert en décembre 2000, pour 1,1 milliard de dollars par échange d'actions l'américain Great Plains Software, éditeur de logiciels de gestion pour PME. Jusque-là spécialisé dans les systèmes d'exploitation ou de bureautique, le numéro un mondial du logiciel entreprend avec cette opération un virage stratégique.

15 avr. 2009

Conferences Internationnales en Technologies logicielles

JAX09
no fluff just stuff 2009
RAILSCONF2009
RAILWAYCON
JAVAONE
JAZOON2009

Entrepôts de données - Bases de données - Datamarts - Datamining - ETL - Cube OLAP

le texte suivant est extrait de l'article lien

1.A quoi correspond un entrepôt de données ? En quoi est-ce différent d'une base de données ?
Un entrepôt de données consolide l'information jugée stratégique pour l'entreprise dans une même base de données appelée entrepôt. Cette information décisionnelle est ensuite utilisée par les différents départements de l'entreprise généralement au niveau de la direction. Les données d'un entrepôt se présentent sous la forme d'indicateurs de pilotage quantitatifs ou qualitatifs.

Si un entrepôt de données utilise le principe des bases de données relationnelles, il s'en distingue par de nombreux points. Tout d'abord, il n'applique pas un modèle relationnel précis, car les tables n'ont pas toujours une structure commune. Les entrepôts de données servent justement à croiser des informations a priori non liées directement (exemple : rattacher les informations des systèmes de production avec celles du support client pour en tirer des requêtes qui font sens).

2.Quels sont les critères d'un entrepôt de données performant ?
Parvenir à fournir des informations clés aux décideurs si possible "à la volée". Cela implique non seulement d'avoir extrait ces informations, de s'être assuré qu'elles soient valides et fraîches, mais aussi que les requêtes qui en découlent s'exécutent rapidement. Afin d'établir des statistiques d'évolution, ou de construire des plans, les entrepôts de données conservent généralement un historique des données. Ajouté à cela la diversité des sources, cela provoque des bases de taille colossale, de quelques centaines de gigaoctets à plusieurs dizaines de teraoctets.

Un gros travail s'avère donc nécessaire pour optimiser la base de données, notamment en travaillant sur les index, la gestion des doublons, les procédures d'extractions et de transformation des données mais aussi sur la création de petits îlots optimisés, appelés datamarts.

3.Qu'est ce que les datamarts et le datamining ?
Le datamart est une extraction d'une partie d'un entrepôt de données pour répondre à une application dédiée (ex : le règlement de contentieux chez une banque). Pour ne pas multiplier l'espace de stockage réservé à l'entrepôt de données, la création de datamarts est souvent limitée. Cependant, elle permet de gagner parfois en efficacité sur le temps d'exécution des requêtes SQL.

Les datamarts sont aussi souvent utilisés lorsqu'une entreprise ne peut plus multiplier les optimisations sur son entrepôt de données sans pénaliser d'autres applications. Elle crée alors un nouvel environnement dédié à cette nouvelle application dont elle peut gérer librement les index. Le datamining regroupe toutes les solutions à même de piocher dans des données éparses pour en tirer des informations d'aide à la décision.

4.Pourquoi rattache-t-on les ETL des entrepôts de données ?
Une solution ETL correspond à la phase amont d'un entrepôt de données, celle qui consiste à collecter l'information. Un ETL extrait les données, les transforme et les charge dans la base finale. Cela nécessite des connecteurs particuliers car l'information dans l'entreprise est souvent disséminée entre les gros systèmes de type mainframe, l'intranet d'entreprise, les fichiers plats ou encore les documents papiers.

La transformation implique également de nouveaux enjeux, notamment celle de la normalisation des noms de champs, la suppression de doublons inutiles (certains étant conservés pour l'historique ou pour d'autres statistiques) et l'harmonisation du type de la donnée (taille, format...). Il existe de nombreux ETL sur le marché mais certaines entreprises préfèrent créer leur propre outil maison.

5.A quoi servent les outils décisionnels et pourquoi parle-t-on parfois de cube OLAP ?
Une fois l'information structurée, reste à mettre en place les rapports formatés (ou reporting) présentant ces informations. C'est le rôle des logiciels décisionnels qui se chargent aussi bien du datamining que de la présentation de ces données. Les cubes OLAP correspondent à une technique d'analyse particulière organisant les données sous forme de dimensions.

Dans le cas des entrepôts de données, OLAP offre aux décideurs plusieurs vues différentes sur une même information. Là encore, les calculs se montrent complexes et donc parfois lourds selon le nombre de dimensions différentes choisi. Le multidimensionnel est au coeur même des entrepôts de données. Il est soit présent directement au sein des bases de données (ces bases sont alors appelées bases de données multidimensionnelles et non plus relationnelles), soit au sein d'outils décisionnels qui émulent alors la technique d'analyse OLAP.

Source

9 avr. 2009

Les Normes en ergonomie des logiciels

"la normalisation n’est souvent perçue par les entreprises qu’au travers de son corollaire, la certification, passage obligé pour être reconnu par ses pairs, voire sanction indispensable pour être présent sur un marché "
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2 avr. 2009

Ressources BASES DE DONNEES - DATA WAREHOUSING - DATA MINIG

le service de sciences des systèmes d'information lien
Centre de Recherche en ingénierie des systèmes d'information lien
Gestion des base de données lien
Théorie des bases de données I lien
Théorie des bases de données II1 lien
Théorie des bases de données II2 lien